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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 09:37

Yop les filles !

 

Bon, je suis enceinte, ça n'est plus très nouveau.

 

4 mois et demi environ, tout va bien, et je ne vais pas m'étendre sur la facilité de ma grossesse, je n'ai pas envie de me prendre des cailloux rougilan

 

C'est un très beau petit garçon qui se construit sous la direction de mes neurones. Oui, mes neurones du service mémoire ont subi une reconversion forcée en neurones architectes. Je ne sais pas comment eux prennent la chose, mais moi ils me manquent terriblement.

 

 

Sinon je voulais exprimer tout un tas de choses à propos de regrets et de fiertés qui me construisent, et qui construiront mon enfant.

 

Je regrette énormément qu'il ne connaisse pas ses grands-pères. Mon père et le père de mon compagnon étant décédés. Je le regrette car il sera dans le schéma familial que j'ai vécut. Je n'ai jamais vu que mes grands-pères en photo. Et si je n'ai pas cette souffrance de "ne plus les voir" comme je souffre de l'absence de ma grand mère, je râle contre cette fichue phrase qui dit qu'on ne souffre pas de l'absence de ce que l'on n'a jamais eu. L'absence totale de mes grands-pères a créé une souffrance en moi. Ce n'est pas la même que j'évoque pour ma gran-mère. Mais elle existe. J'aurais tant voulu les connaitre.

Connaitre ce grand père si gentleman qui faisait de toutes les femmes des princesse, et qui a fait de ma grand mère une reine. Ce même grand-père si matheux qui se serait arraché les cheveux avec sa petite fille si allergique aux calculs... Ce grand-père dont je n'en sait guère.

Connaitre cet autre grand-père dont ma mère ne me parle pas souvent, si ce n'est pour dire qu'il a mis enceinte sa mère, et qu'il préférait aller en prison (nourri logé blanchi) que de payer la pension alimentaire. Qu'il était un courreur de jupon invétéré, et que sa dernière conquête connue était une fille du même âge que ma mère. Qu'il était plus poilu qu'un singe.

 

Ce ne sont pas des regrets qui me bloquent. Je ne peux pas agir dessus, et je n'ai pas pu empêcher les évènements d'arriver.

 

Je regrette que mon fil ne connaisse pas ses grands pères.

D'abord mon père. Je ne me suis jamais sentie proche de lui, mais il était un père parfait. Il faisait ce qui lui semblait juste, et il y arrivait. Je n'ai jamais manqué de rien, si ce n'est peut être de manifestation d'amour et de compréhension. A première vue, c'était un père un peu caricatural. Il travaillait, il faisait les travaux du jardin et les bricolages, il conduisait, et me promettait le fusil si je ramenais un mec à la maison. (Et croyez-moi, mon père était sacré bon tireur !)  mais en fait, il était surtout farouche. Il aimait son intimité et la protégeait. Il cuisinait aussi bien que ma mère (je vous jure que c'est pas une mince affaire). Il touchait sa bille en patisserie. Il était gourmant. Il avait un humour fin, et profitait à fond des amitiés qu'il liait jusqu'à la mort. Il aimait chasser. traquer une proie, toute en discrétion. Je crois que cela lui permettait d'épanouir ses capacités intellectuelles à ce moment là. Il ne chassait pas pour tuer. S'il tuait, il ramenait la bête à la maison, nous la mangions. Ne pas gaspiller une vie. Il adorait les animaux.

 

Mon beau-père. Il était un homme généreux et conciliateur. il ne s'embarassait pas des bonnes manières et se faisait des amis de beaucoup de gens. Il avait le sourire facile et contagieux. Il était amoureux de sa femme, et le montrait, même encore à 60 ans passé. Le plaisir et le bonheur de ses enfants et petits enfants faisaient le sien. Il aimait voyager, et il s'en donnait les moyens. Les états unis, l'europe, la guadeloupe, le maroc, madagascar... J'en oublie certainement. Il se serait ruiné pour payer l'opération qui aurait permit à son fils ainé de remarcher correctement. Il aurait fait pareil pour son second fils (mon compagnon), pour qu'il puisse voir au delà des 5 et 4 pauvres dixièmes que lui apportent ses lunettes.

Je ne saurais vous en dire beaucoup plus.

 

Certes, nos pères avaient bien des défauts. L'un était plus que taciturne et grognon, et l'autre était franchement magouilleur. Mais ce n'est pas cela que je souhaite transmettre d'eux à mon fils.

 

Car je suis fière d'eux. Ils ont contribué à ce que mon compagnon et moi sommes.

 

Mon père m'a enseigné son amour des animaux, et son amour pour la pêche et la chasse. Il m'a enseigné son amour de la patisserie, et maintenant, la bûche de noël, c'est la mienne. Avec un peu de mon père dedans. Son amour de l'informatique aussi. Et son attachement à la liberté. Sa façon de lier des amitiés. A la vie, à la mort.

 

Mon compagnon a reçu le don de lier des amitiés aussi facilement que son père, et l'amour du voyage, du dépaysement. L'amour du bon pain , et le bonheur de ses proches.

 

Beaucoup d'autres choses sans doute. De petites choses, qui se transmettront, de façon consciente ou inconsciente à notre fils. Je suis fière de pouvoir dire à mon fils que nous aimions leurs grands-pères et que nous n'avons pas honte d'être leurs enfants. De pouvoir lui dire que malgré la société, ils ont su dépasser le carcan de la pression sociale pour faire ce qu'ils aimaient, et nous apprendre à nous cette importance.

 

Je suis fière d'avoir eu un père et un beau père qui cuisinaient et passaient aussi bien le balais que nos mère quand il y en avait besoin. (En même temps, ce n'est pas comme si ma belle mère savait ce qu'est un balais...). D'avoir un beau père qui n'hésitait pas à monter sur scène pour danser. Un père qui se baissait pour caliner un chat.

 

C'est cet ensemble que je voudrais transmettre à mon fils. Tout en regrettant qu'il ne puisse recevoir cet enseignement de leurs mains propres.

 

 

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Enjoy !

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 12:25

Yop les filles !

 

 

Je voulais partager sur le sujet d'une émission que je regarde, car je l'apprécie beaucoup : c'est Top Chef.

 

J'aime cuisiner, j'aime beaucoup quand c'est beau dans l'assiette, et l'émission me semble proposer des défis de la mort.

 

Je commençais à m'en lasser. Enfin, ça reste de la cuisine, et ça reste une émission "télé réalité" pour faire le show. On a nos petits chouchous, ceux qu'on peut pas blairer....

 

 

Et puis je suis tombée dernièrement, sur Top Chef, mais la version USA.

 

 

Et autant j'adore Top Chef France, autant si j'étais tombée sur Top Chef USA, je n'aurais jamais regardé.

 

Autant je n'aime pas que l'on exploite les finalistes de Top Chef dans des émissions débiles juste pour faire le buzz (oui, je pense bien au défi de Norbert et Jean). Autant j'apprécie que dans l'émissions les candidats semblent sérieux quand ils taffent, qu'ils soient toujours impéccables, les cheveux attachés, jugés sur l'hygiène, la capacité à jongler entre divers postes en cuisines, leur capacité d'adaptation à l'équipe, leur ressenti sur les défis...

 

Dans Top Chef USA, la première chose qui m'a choqué, c'est que les candidats se foutent sur la gueule. Ils sont interrogés par la caméra, la seule chose qu'ils font c'est accuser untel ou untelle d'avoir fait ça, où de ne pas avoir fait comme ci.

La seconde chose, c'est qu'au moment des délibérations, on les voit se détendre en fumant et en buvant ce qu'il semble être de la bière.

 

Vous l'aurez compris, je déteste Top chef USA. Outre ce que j'ai dit au dessus, les plats me semblent largement en dessous du niveau de Top Chef France. Les plats manquent de finesse. Les épreuves prennent toutes la même forme : Ils partent en équipes et chacun fait le plat qu'il a décidé. Il n'y a pas de travail d'équipe. Les jurés encadrants laissent passer des horreurs sur le plan hygiénique. L'autre jour, le gars goutait la sauce avec une cuillère et s'est servi de la même cuillère pour touiller et servir les clients. Même pas un rappel à l'ordre. Même pas perdu des points avec ça. J'ai trouvé ça inadmissible.

 

Top Chef USA me semble plus une course au gain qu'une reconnaissance et un apprentissage de la haute cuisine. Toutes les deux ou trois épreuves, le vainqueur gagne un truc énorme. Un pc portable dernière génération. Une batterie de cuisine toute neuve. Non, décidément, je n'arrive pas à m'y attacher. Ils sont encore une quinzaine dans la compétition, et ils font encore des plats que je réalise toute seule. Il faut arrêter de simuler quoi...

 

 

 

Sur ce, je retourne à ma grossesse. J'ai abusé ce week end, et bébé me le fait payer.

 

Enjoy !

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 21:08

Yop les filles !

 

 

Pas grand chose à raconter ces temps ci. Ma grossesse se poursuit, je suis à 16 semaines d'aménorrhée. J'ai une grossesse pour l'instant assez facile, comparée à ce qu'une copine endure...

 

J'ai vomi 4 fois.

Mes nausées s'estompent.

Je ne sens pas encore le petit loup, mais je sais ou il est, et quand il bouge.

Quand il bouge, je suis "malade".

Quand il est sur le devant, il m'empêche de dormir.

La pluspart du temps, les deux à la fois entre 1h et 4h du matin.

J'ai senti la poche remonter, et cesser, en deux jours, de tirer sur les muscles du bassin.

Je mange des frites et de la mayo.

Je vomis les pates.

J'ai fais l'andouille et attrapé la grippe.

J'ai mangé des chips qui avaient le gout de barbe à papa et de noix dans le même paquet.

J'ai mangé des bonbons à la menthe qui avaient le gout de noix de coco.

Dans le bain, je me suis vu pousser un morceau d'homme.

Je me suis relevée pour manger à 4h du matin.

J'ai pris un bonnet. Bienvenue le 95G. Adieu les sous-vêtements.

J'ai les seins qui grattent.

J'ai vu la pharmacienne gober une mouche quand je lui ai dit que j'avais les seins qui pelaient, et que j'avais déjà des vergétures.

J'ai mangé des chips qui avaient l'odeur d'une omelette baveuse aux pommes de terre.

J'ai servi du cassoulet au confit de canard à mon chat.

Je suis A+.

Je suis immunisée toxoplasmose.

J'ai pleuré après l'échographie.

J'ai pleuré en mettant des livres dans un carton.

Je mange de la mayo et des frites.

Je mange deux cuillère et puis je n'ai plus faim.

J'ai faim une heure après.

Mon acnée, qui s'était enfin réduite, s'est transformée en plaques de macarons.

J'ai mis de la compote de pomme sur du Nutella que j'ai mis sur des tartelettes aux pommes.

J'ai voulu tremper des croques monsieurs et de la quiche dans de la soupe de poireau/pomme de terre.

J'ai demandé des crèpes et des gaufres au petit déjeuner, et je les ai eues.

Je ne supporte pas la charcuterie, les pates, et les plats en sauce.

Je mange des frites à la mayo, et de la mayo aux frites.

 

 

 

Tout un tas de bricoles. Qui sont moi. Qui sont nous. Qui m'embêtent. Qui embêtent sa grand-maman. Elle en a marre des frites et voudrait manger des nouilles. Je tiens la route. Je brinqueballe à droite et à gauche.

Ma copine est alitée en attendant la MAP. Elle passera sous césarienne en mai si tout va bien. D'ici là, son homme va devoir déménager tout seul tout l'appartement, tout en travaillant et en gérant toute la maison. 

 

C'est injuste, elle qui souhaitait tellement sa maternité depuis le collège. Qui a du se battre pour que son homme accepte. Qui a du arrêter sa contraception pour raisons médicales. Qui a une grossesse pourrie.

Et moi, qui ne voulait pas d'enfants. Qui s'est mise d'accord en deux mois avec son mâle, sans forcing. Qui ai une grossesse sans soucy. Pourvu que ça dure. 

 

C'est injuste, c'est la vie. Je n'échangerais pas ma grossesse pour lui prêter la mienne. Mais je compatis quand même.

 

Sur ce, je vous laisse, je vais aller reprendre de ce fichu sirop au gout de caramel brulé aux édulcorants (c'est déjà pas bon, mais alors mettre des édulcorants c'est encore pire !) parce que je suis en train de cracher la mort.

 

 

Enjoy !

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 16:08

Yop les filles !

 

Aujourd'hui, traitons donc d'un sujet lié à la grossesse. J'ai dit au Dragon qu'elle serait Grand-Maman. Le poulpe à enfin dit à sa mère qu'elle serait mamie (d'ailleurs elle est contente, ce qui est étonnant).

Je l'ai dit aussi à monde virtuel.

 

Mais pas encore aux copains du monde réèl. Donc l'égyptienne n'est pas au courrant. Pas encore.

 

Donc il va bien falloir lui dire. J'ai échappé à l'anniversaire de sa fille, j'ai échappé au jour de l'an, rien vu, rien soupçonné.

 

J'avais donc prévu qu'on se verrait bientôt, qu'on passerait une après midi ensemble, qu'on irait faire les boutiques, ou que l'on ferait du scrap.

 

Sauf que le poulpe à décidé qu'il voulait lui dire lui même. Emplois du temps de merde oblige, j'ai arrangé un rdv lundi. Lundi là, celui qui vient.

 

Et je viens de passer deux heures au tel avec l'égyptienne. Elle est très volubile donc au début, aucun soucis, elle a tapé la discut' toute seule comme une grande, sur son boulot, son mari, sa fille, sa mère.... Elle aurait un chien qu'il y serait passé aussi.

Pis on a dévié sur Lundi.

 

Mauvais plan. La Dame au téléphone veut qu'on "fasse" quelque chose. Elle ne conçoit pas de rester dans ses quatre murs alors qu'elle à la chance de nous voir tous les deux.

 

D'aller manger au restau, c'est bon, c'est de toute façon ce qu'on avait prévu. Un chinois ? C'est parfait, c'est dans mon budget. Pour pas lui dire que mon estomac l'accepte plutot bien... Mais là, ça va encore.

 

Sauf que ya rien au cinéma, qu'on à pas de sous pour faire les trois boutiques pas loin de chez elle (et qu'on connait par coeur de toute façon).

 

Monter à la Buche ? La patinoire ? Non seulement contente de me sortir une connerie comme quoi ça me plaira pas la patinoire (J'adore le patin mouah japonais26 ), je n'ai pu que lui dire non.

 

Ha bin si je sais patiner en plus, j'adore ça ! Mais en fait non.

 

Mais quelle conne !

 

Bah pourquouaaaah ?

 

Euh comment dire ? J'suis enceinte, le médecin il veut pas, mais comme t'es pas au courrant, je réponds quoi, moi ? Bon. J'ai réussis à m'en dépatouiller en disant que bah en ce moment j'en avais pas envie.

 

On discute encore, de toute façon faut qu'à 16h je sois à la gare hein, rapport à mon boulot à 18h (et pis que je veux regarder ma série à 16h30 mais shht). Et comme elle arrive qu'à 13h rapport à son boulot à elle, ça limite les options.

 

Pis finalement ça l'arrange pas tant que ça qu'on se voit lundi. Pis d'abord c'est mon mâle qui l'arrange pas, parce que forcément, lui et elle ne peuvent pas se voir en dehors du lundi. Donc au mieux le lundi de la semaine d'après, elle aura touché ses sous, et comme ça, elle pourra faire les boutiques qu'elle veut.

 

Genre ca la gène de pas pouvoir s'empêcher de dépenser. C'est toutes les semaines que je suis à sec... Elle finit par m'énerver avec son argument bidon GigaSmiley.7f965d861e039d929609b7bf99075fcd Mais ca ne m'arrange pas d'attendre encore une semaine de plus. Ca devient difficile de tenir le secret.

 

 

On finit par se mettre d'accord pour déjeuner au chinois au Poteau. C'est un très bon chinois, et ça fait un moment que nous n'y sommes pas allés, donc ça tombe bien.

 

V'là qu'elle veut aller se promener au Panier Fleuri après ! Un magasin de fruits et légumes, un peu cher mais d'une qualité imbattable. Sauf que... ya au moins deux kilomètres entre le restau et le panier et que dans mon état, après un déjeuner, meiux vaut pas me secouer.

 

Sauf que la tite mère elle est pas au courrant... J'ai essayé pendant une demie heure de la dissuader. J'ai même pensé à demander un aménagement des courses au Dragon, rapport au fait qu'on va dans le coin, mais le mardi. Pourquoi ne pas y aller lundi ? Elle profiterait en plus du restau, et nous de la voiture.

 

On raccroche, mais en se promettant de se rappeler d'ici Dimanche.

 

Prise d'un doute, je vais quand même regarder sur le net. C'est magique le net, ça connait tout. Ca sait aussi que le fameux panier fleuri, il est fermé le Lundiiiiii. petit-diable-noir

 

Donc retour à la case départ.

 

 

 

 

Il faut avouer que tenir une conversation de plus de deux heures avec sa meilleure amie (en mode inquisitrice) sans pouvoir lui dire, c'est long, et les nerfs sont mis à rude épreuve. La capacité de réponse en directe s'en retrouve bombardée d'urgences. Il faut pouvoir gérer le fait que je vais avoir envie de vomir, surtout que je suis habituée à déjeuner à 11h30 en ce moment. Que je vais devoir tenir jusqu'à ce que mossieur daigne bien ouvrir sa bouche (et que l'égyptienne daigne lui laisser le temps d'ouvrir la bouche). Rien que pour voir sa tronche quand je lui dirais que je serais à 13 semaines! Il faut dire que nous ne nous sommes pas vu beaucoup ces temps ci.

Tenir la discussion est une gageure. Ne pas se faire piéger en est une autre. J'ai déjà cafouillé lorsque je lui ai dit avoir rdv à pole emploi à 14h. J'avais juste zappé que c'était dans la ville ou elle taffe. Elle m'avait donc demandé de lui amener sa fille... Enfin tout un bazar.

 

J'ai de la chance, je ne bois pas et je ne fume pas. Je ne suis donc pas inquiétée sur ces sujets. Mais ce doit être un sujet difficile pour d'autres. Ce serait bien que ce ne soit plus une gène de ne pas avoir envie de boire de l'alcool. Pas envie d'en griller une, sans que les lourdeaux insistent. "Quoi ? T'arrêtes de fumer ? Si tu manque d'argent, je t'en passe une, c'est pas un problème."  Mais c'est valable pour tout. "Ha bon ? T'as envie de ça ? T'es enceinte ?"

 

Dès qu'une envie se pointe, une barbe à papa, une caisse de fraises, un carré de chocolat... C'est une hécatombe.

 

Comment ne pas leur dire ? Comment leur réserver la surprise ? De toute façon, une fois que l'égyptienne sera au courrant, plus personne sur terre ne l'ignorera.

 

Sur ce, je vous laisse, j'ai faim imagesCAXU7TZH

 

 

Enjoy !

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 20:03

Yop les filles !

 

D'abord, joyeux noel pour ceux qui le fêtent, Bonne année, banne santé, tralala.

 

Jusqu'à présent, ma grossesse se passe bien, malgré mon angine cette semaine, mais j'ai fais du vélo sous la pluie, alors j'ai pas à me plaindre :b

 

 

Tout à l'heure, je reçois un message d'une copine. Blondie. Jumelle avec Brunie.

 

J'ai passé des moments de vacances merveilleux en leur compagnie. Elles venaient à la campagne chez Mamie, ma voisine. Tous les étés. Toutes les vacances. Et parfois même le week end. J'ai toujours été fourrée chez elles. 14h sonnante, je décrochais le téléphone, et je demandais si je pouvais venir jouer. On s'est farcies assez de dictées pour réécrire le seigneur des anneaux.

 

Nous avons grandies. Elles sont venues moins régulièrement, adolescence oblige, puis travail et études maintenant. On ne se croise plus que rarement. Mais j'ai toujours le numéro de Blondie.

 

Blondie, la grande blonde bouclée mais complètement garçon manqué. A pris le physique de la mère, avec le caractère du père. A l'inverse de sa soeur.

 

Ca n'a pas été rose tous les jours pour Blondie. Déjà dans nos jeux, on la mettait de coté, pas méchament, mais comme elle était toujours en train de raler... Puis quand elle a été malade. Un matin, il lui a été impossible de se lever. Je n'ai pas les détails, mais il s'est passé un truc au niveau de sa moelle épinière. Longue à été le chemin de la ré-éducation. Longue le chemin de la confiance familiale à reconquérir, famille qui est toujours persuadée qu'elle faisait semblant, malgré les preuves médicales à l'appui. Elle en a guérit.

 

Aujourd'hui, elle me bippe. Joyeux noel, bonne année, je peux t'appeler ?

 

Je soupçonne du sérieux, j'embarque donc ma poubelle phonique dans ma chambre et décroche.

 

 

Plus jeunes, les jumelles ont été abusées sexuellement. Elle m'en parle. C'est la première fois. je n'étais pas au courrant. Je n'ai rien vu. Elle me demande si je me souviens de son frère (demi-frère, plus grand d'une douzaine d'années). Oui, je m'en souviens, mais trop peu. Un après-midi, dans le jardin comme tant d'autres passées en compagnie des filles. A courrir partout, à faire les idiotes, à chahuter. Cela viendrait de lui. Non. Il ne m'a rien fait.

 

Elles luttent contre leur famille qui trouve que c'est encore une connerie pour faire leurs interressantes. Elles avaient environ 3 ans au moment des faits. J'en avais 6 ou 7. Je n'ai rien vu.

Nous en avons discuté quelques minutes.

J'ai très peu de souvenirs de cet ado qu'était leur demi frère. Il était trop grand pour faire vraiment parti de mon cercle de jeu, comme je lui ai dit. Je l'intégrais à nos jeux parce que j'avais ordre d'être gentille, vu que les filles ne le voyaient pas souvent. Ca leur faisait plaisir, ça faisait plaisir à leur mère, à leur père, et à leur grand-mère. Je m'en fichais, je ne le revoyais plus avant des années. Je pouvais bien jouer avec lui pendant un après-midi.

 

Mais que se passait-il donc avant que j'arrive et quand j'étais partie ?

 

Ce n'est pas la faute de la petite fille que j'étais de n'avoir rien vu. Leur famille dit qu'à trois ans elles ont tout inventé. A-t-on assez d'imagination pour en faire des cauchemards 20 ans après ? Blondie m'a dit avoir consulté des psy. Suivant la procédure, et sur insistance de la famille. Elle n'invente manifestement pas.

J'ai cuisiné un peu ma mère pour en savoir plus. Effectivement il n'était pas clair. Elle me parle de "tentative". Mais à cette époque, on étouffe très vite en famille ce genre de chose.

 

Ce qui me fait peur pour notre génération. Ma mère m'a élevée d'une certaine façon, avec une confiance "inconditionnelle" en l'adulte. Il ne m'est jamais rien arrivé, heureusement. Bien sur, je n'aurais pas suivi un inconnu dans la rue, ou ce genre de chose. Mais "ce genre de chose" s'applique-t-il lorsqu'un membre de votre propre famille, qui a plus de dix ans de plus que vous, vient vous proposer un jeu ?

Cela me rappelle une discussion sur un forum, récemment. Une internaute à lancé un sujet sur le reportage du jour, ou il était question d'un médecin examinant "intimement" une petite fille pour infection urinaire. Le père et le frère de la fillette étaient dans la salle. Cela choquait l'internaute que le garçon ait été face à l'intimité de sa soeur en train de se faire tripatouiller par le médecin. Toute la discussion qui à suivit à porté sur la capacité physique, morale et psychologique de la petite fille à dire "non". Personnellement, si mon père m'avait confié à un médecin, et que mon frère m'avait "reluqué" toute la séance, je n'aurais jamais dit non. Que ce soit pour ce frère qui regardait, ou pour ce médecin qui touchait des endroits en théorie interdits. Tout simplement parce que ce serait mes parents qui m'y auraient amenés, et que s'ils ne disaient rien, c'est que tout était normal.

 

J'ai l'impression que c'est ce danger là qui était plus dangereux que l'inconnu qui offre des bonbons dans la rue. Quand le frère est assez adorable pour jouer avec ses "mini" soeurs pendant trois heures dans leur chambre sans qu'elles se disputent. La porte fermée, on ne les entends pas. Les adultes discutent sur la terrasse en bas, entre deux cafés et biscuits. Puis les pères se lèvent, ils descendent en ville faire quelques courses. Les femmes se lèvent aussi, passent au salon et à la cuisine pour le gouter et le menu du soir. Il fait beau, les fenêtres sont ouvertes. Les adultes discutent et rient fort. Qui entend quelque chose ? Qui peut penser qu'il se passe autre chose qu'un grand frère s'interressant à des petites soeurs qu'il ne voit pas souvent ?

 

J'espère un jour pouvoir élever mon enfant dans la confiance. La confiance en moi, la confiance en lui surtout. Qu'il en ait assez pour me dire Non, pour me dire pourquoi, et pour trouver une solution ensemble. Pour que ce genre de chose n'arrive pas. Pour qu'elles n'arrivent plus.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 21:52

Yop les filles !

 

Début de grossesse oblige, j'ai des trucs bizarre dans le dedans de mon corps. Un peu comme toutes les femmes enceintes.

 

Je suis fatiguée en tout début d'après midi. 14h, j'ai un coup de barre, et je vais pioncer une heure ca va mieux.

 

Je ne supporte plus l'ordinateur ou la télé plus de deux heures d'affilées (voire une heure, une heure et demie). Donc je fais des pauses régulièrement.

 

J'ai soif, donc je me réveille pour boire, et invariablement, je me réveille pour vidanger (7h tapantes tous les matins - parfois même à 3h30).

 

Jusqu'à présent, je n'avais pas de "nausées". J'étais plutot bien, ca tire un peu en bas quand je marche longtemps, mais ça je peux pas y couper. Je ne pose plus le pc portable sur mon ventre, ça me dérange, mais rien d'autre de vraiment anormal.

 

Sauf que. Ca fait trois jours que j'ai pas dormi l'après midi. Je suis donc claquée. J'ai failli m'endormir sur le trajet du supermarché ou nous allons faire nos courses. Et donc, je suis plus sensible à tout et n'importe quoi.

 

J'ai trop mangé ce midi. J'ai gouté encore par dessus. Entre deux, j'étais vraiment mal pendant nos courses. J'étais vraiment mal après le gouter (sans avoir tout mangé, incapable d'avaler une bouchée de plus). Et là, j'ai diné, et je suis mal dans mon lit.

Pas vraiment des nausées. Pas comme quand j'ai envie de vomir, mais c'est pas loin de ressortir par la mauvaise porte quand même.

 

Et demain je vais tenter de rentrer tot pour dormir un peu, mais c'est pas sur, j'ai encore des cadeaux de noel à acheter.

 

Rien de trop méchant toutefois. Je vais faire gaffe à ne pas trop me gaver (comme aujourd'hui par exemple), et je vais tacher de dormir un peu tous les jours. Ca m'évitera les problèmes.

 

Sur ce, je vous laisse, je vais tacher de gérer le surf sur estomac.

 

Enjoy !

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 12:42

Yop les filles ! Ca y est !

 

RDV chez le médecin hier, prise de sang dans la foulée (j'suis arrivée avant la foulée justement). Résultats ce matin....

 

 

http://vroum52.com/chats.img/chat%20comment%20naissent%20les%20chats,%20c%27est%20tr%C3%A8s%20simple%20une%20cigogne%20d%C3%A9colle%20du%20pays%20du%20Pere%20Noel%20et%20vient%20dans%20votre%20maison..gif

 

Hier matin, 10h15, j'étais à un peu plus de 1600ui/l de cette hormone femelle qui dit que t'es enceinte.

 

Soit, début de la troisième semaine effective de grossesse, et donc 5eSA.

 

J'ai tellement hate de le dire à mon chéri (toujours avec les angoisses précédament sitées dans l'article juste avant). Mais je me suis gardée la semaine exprès, comme il est parti hier soir et que je ne le revois que Dimanche soir, pour pouvoir terminer le carnet de publicité. Il faut d'ailleurs que j'ailles m'en occuper, et que je note ce qu'il me manque pour aller acheter demain.

 

Mais enfin, c'est dur de fermer sa bouche. J'attend que chéri soit au courrant pour l'annoncer à ma mère (que je vois toute la semaine, elle!).

 

Je ne vais pas non plus aller le dire aux gars de lord of ultima, on fait la guerre là-bas, pas l'amour :b

 

 

Sur ce, je vous laisse, je vais planer encore un peu :b vant de m'écraser au trente-sixième sous-sol en voyant les prix :b

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 11:36

Yop les filles !

 

AUjourd'hui, 2 Décembre, je n'ai pas encore mes règles. Je n'ai pas encore saigné ce mois-ci. Si ce n'est pas inhabituel que j'ai un "retard" important dans le sens ou mes règles sont irrégulières, j'ai quand même fait un test hier. 

 

Quand je voyais les filles sur les forum poster la photo du test pour demander conseil, je les trouvais un peu bête. A votre avis ? Est-ce qu'il est positif ? 

 

Mais quand j'ai fais mon test hier, la barre n'était pas claire. Et je me suis retrouvée à me poser les mêmes questions. C'est un ++ ou pas ?

 

Si c'en est un ? Je me sens au bord du gouffre. Un peu la vantarde qui disait qu'elle allait sauter à l'elastique. Ouais, même pas peur. Et me voilà devant le vide. Avec l'impression de ne pas avoir écouté le moniteur, et de ne pas savoir si c'est mon tour. C'est mon tour ? Je saute ? Je l'ai voulu hein ?

 

Je ne me sens pas si prête finalement. L'est-on jamais d'ailleurs ? D'un seul coup, avec la possibilité du ++, reviennent les interrogations. Et si le Dragon réagissait mal ? Oui, ma mère habite avec moi. Son avis m'importe beaucoup, même si je m'en détache de plus en plus. J'ai peur qu'elle désapprouve, comme elle à toujours tout désapprouvé tout ce qui me tenait à coeur. Et si mon Homme que j'aime d'amour, réagissait autrement ? Il s'imagine bien réagir, et moi je l'imagine à mon image, souriant mais finalement intérieurement paniqué.

 

Je tente de m'approprier une [future/possible] grossesse. Je regarde plein de choses sur internet. Je regarde les témoignages, les problèmes, la paperasse, les produits... J'en discute avec les filles sur les forums, avec la copine Mme l'égyptienne. J'obtiens des conseils au compte-goutte de ma mère. J'essaye de me l'approprier.

 

Aujourd'hui, j'ai menti à ma meilleure amie en lui disant que j'avais mes règles. Elle est tellement fouineuse que si je ne lui avais pas dit, elle m'aurait fait chier jusqu'à ce qu'elle me prenne à défaut. Et je ne sais pas mentir quand on me mets mal à l'aise. Je ne voulais pas que ce soit la première à le savoir. D'abord mon bonhomme et ma mère quand même !

 

Lundi je prends rdv chez le médecin pour me prescrire les prises de sang. J'irais seule. Je flippe à mort. J'ai jamais fait de prise de sang, et disons que l'aiguille n'est pas mon amie

 

Je flippe. Je sais que c'est parce que même si on se prépare, il reste une part d'inconnu. Là, maintenant, avec la "menace" du ++, j'ai envie de reculer. De reprendre le préservatif à vie. Je n'ai pas non plus envie de les décevoir. Mon homme, qui m'a dit d'accord. Mes amis qui sont presques tous au courrant. Une partie de la famille de mon homme.

 

Je compare tout. Je regarde les équipements. Ca à l'air d'une obsession. C'en est une probablement. J'ai besoin de mettre en scène. De préparer mes annonces. Je me suis attelée à celle du père hier. Je ne l'ai pas fini, il me faut encore deux trois catalogues pour illustrer. Un carnet type publicité de nouvelle aventure. Des monstres à combattre, de nouveaux équipements, des familiers, des promos... Geeks forever.

Je voudrais en parler à ma mère. Elle trouve tout cela inutile. Tous les réconforts dont j'ai toujours eu besoin, elle n'en a jamais vu l'utilité. Si je lui disais que j'avais fait tout ça juste pour annoncer une grossesse à mon bonhomme, elle se mettrait à rire. Elle critiquerait encore les couleurs que j'ai utilisé, la façon dont j'ai agencé les différentes pages, et que sais-je encore. Des phrases dont elle ne mesure pas la portée destructrice.

 

J'ai préparé un calendrier des semaines de grossesse. Parce que j'en aurais besoin, et que mon bonhomme le consultera aussi. Ca lui permettra d'être un peu plus acteur, même si bon... Tout se passe chez la femme rougilan Il est comme moi. Il aime savoir. Il en a besoin.

 

 

Enfin voilà. je stresse. Je ne suis pas vraiment en "retard de règles", Mais ça commence à faire long. Et si la barre était bien apparue comme je le crois...

 

 

Bonne semaine les filles ! Je reviens vous dire dès que je sais ;)

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 19:07

Yop les filles !

 

 

Il y a déjà quelques temps, avec mon chéri d'amou, j'ai été au cinéma (ouais, je sais, cette année j'ai pas arrêté). Nous avons été voir Prometheus. Ridley Scott, Alien, sang, boucherie, toussa quoi...

 

D'abord, il faut savoir que nous avions entendu tout et son contraire concernant ce film. Il s'agirait d'un prequel à Alien, et puis en fait non, démenti par Ridley Scott lui-même. Enfin, même sans faire allusion aux fameux Aliens, le film nous tentait bien. Donc direction le cinoche, (et le restau au passage avec la copine).

 

 

attention Spoil Inside. Au fil de mon ressenti, il est possible que je spoile un peu (de façon décousue, hein, mais vous commencez à me connaitre), voir beaucoup.

 

De façon générale, j'aime bien ce que fait Ridley Scott (Surtout pendant le petit déjeuner. Après midi, c'est largement discuté par mon estomac qui remporte haut-la-main la discussion). Je n'ai pas tout vu, et je n'en ai pas le désir. je ne regarde pas un film parce qu'il est de machin où qu'il y a truc dedans.

 

Premier constat : les acteurs ne me disent rien. En même temps vu ma culture cinématographique (nourrie à base de Disney), cela n'a rien d'étonnant. A regarder Wikipédia aujourd'hui, j'ai déjà entendu le nom de Charlize Theron, et de Michael Fassbender, mais cela ne va pas plus loin.

 

 

L'histoire :

Des scientifiques découvrent la représentation d'un système d'étoiles dans différentes civilisations qui n'ont pas pu avoir de contacts entre-elles à ce moment là. Selon les scientifiques, les coordonées calculées à base de ces représentations seraient le berceau de la civilisation humaine. Qu'à cela ne tienne, voilà une équipe partie en vaisseau spatial à la recherche du berceau de notre civilisation.

Dans le vaisseau, toute une équipe composée de plusieurs spécialités. La capitaine, manifestement fille (si mes souvenirs sont bons - ou petite fille, on ne va pas chipoter) du commanditaire qui à payé l'expédition, un androide pour pallier à toutes les déficiences humaines (et accessoirement conduire le vaisseau pendant les années d'hibernation de l'équipage), une médecin, un pilote, et je ne sais plus quoi. Probablement l'équipe habituelle, un xéno-bio (bien que l'on devrait encore parler de biologiste), un spécialiste des armes (mode tank-barbare)...

Les voilà débarqués sur la planète qui semble avoir une athmosphère potable, près de "constructions" manifestement non-naturelles. Ils rentrent dans le tas et...

 

 

Mon avis :

 

Le film commence bien, on est vite pris dans l'histoire. Les acteurs sont crédibles (de mémoire hein, depuis le temps...). On s'aperçoit vite que derrière cette quête du berceau de l'humanité, il y a autre chose. La capitaine n'est pas claire, le robot non plus, et, malgré qu'il ne soit pas sensé éprouver des émotions, on a l'impression qu'elle et lui sont en désaccord. En froid tout du moins. Et il y a autre chose sur le vaisseau. ou quelqu'un.

Toutefois, l'action prends son temps au début, avant de filer à une vitesse ahurisante. Si ahurissante qu'elle oblige le scénario à quelques acrobaties. Par exemple, L'héroine se fait faire une césarienne d'urgence, avec juste trois seringues d'anti-douleurs, elle a des agraphes (et quelles agraphes ! ) sur toute la largeur du ventre, et vingt minutes après (5mn ds le film, mais 20 mn dans l'histoire), elle cavale et saute comme un cabri. Pas une attache qui saute, et à peine sourcille-t-elle. Alors soit, des anti-douleurs puissants, c'est une chose. Mais la plaie n'est pas "cautérisée" ni cicatrisée suffisament pour que les attaches ne larguent pas les amarres. (C'est la grosse incohérence du film).

Quelques passages très gluants (A tel point que même en fermant les yeux, je n'étais pas bien à la fin du film. Je suis une chochotte.) La pieuvre, la césarienne, les viscères...

Sinon l'histoire est chouette. Les coapins qui l'ont vu ont tous reconnu des clins d'oeil de la mort à Alien, j'en ai vu quelques uns, mais ce n'est pas moi qui récite les dialogues en boucle d'Alien .

A vrai dire, sans la toute dernière scène, je n'aurais jamais compris pourquoi tout le monde parle d'un prequel à Alien. Honnêtement, j'ai pensé que cette scène n'avait rien à faire là. Le film était très bien sans, et cela n'apporte rien à la compréhension du film.

 

Le reste :

 

Après avoir consulté mon ami Wikipédia, il se trouve que j'ai déjà vu Charlize theron dans : "Mon ami Joe". Film que je n'avais déjà pas trop apprécié à l'époque alors que ma mère s'en faisait tout un foin. De là à reconnaitre une actrice dix ans après...D'autant que j'ai regardé Hancock la semaine dernière et que je ne l'ai pas reconnue non plus. Pas vraiment remarquable (ni elle, ni ma reconnaissance faciale). Les autres me sont totalement étrangers. J'ai pu en apercevoir du coin de l'oeil dans certaines séries, mais les figurants...

 

 

Conclusion.

Le film me semblait être long sur la couverture, mais en fait, c'est passé plus vite qu'une lettre à la poste. Je n'ai pas eu envie de sortir, je n'ai pas trop bougé (j'emmène toute une colonie de punaises en général). La fin du film est arrivée sans que je m'ennuie. Bon film bien sympa, malgré les quelques petits trucs bizarres (cités un peu plus haut). Il faudra bien sur, qu'il rentre dans la videothèque familiale. Chéri d'amour ne voudrait pas s'en passer. On se le fera offrir à l'occasion.

 

J'ai vaguement vu parler d'un prometheus 2 sur internet, je n'ai pas poussé le bouchon, mais affaire à suivre.

 

 

Enjoy !

 

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 14:15

 

Titre du livre : Coucher de Soleil

Série : La dernière prophétie (6)

Editions : Pocket Jeunesse

Traducteur : Aude Carlier

Prix neuf : 15 euros

Lectorat : 8-12 ans plutôt féminin

 

  http://img.abrakaba.com/0041D7C4-0/La-guerre-des-clans-la-derniere-prophetie-Tome-6-Coucher-de-soleil.jpg

 

4ème de couverture :

 

L'ère d'une nouvelle prophétie est enfin arrivée !

 

L'attaque des blaireaux a laissé le clan du Tonnerre exsangue. Feuille de Lune entend alors en rêve une prophétie : "Avant que la paix revienne, le sang fera couler le sans." La jeune guérisseuse est atterrée. Son clan se remettra-t-il d'une nouvelle guerre ?

Hélas, une autre menace plane sur les siens : Etoile du Tigre, le traître mort, hante ses fils chaque nuit. A travers eux, il espère se venger d'Etoile de Feu, et lui ôter d'un coup les sept vies qui lui restent...

 

Mon avis à Mouah :

  chirolp lovely 

 

 

Depuis les ténèbres, Eclair Noir et Etoile du Tigre, les traîtres, se retrouvent et complottent pour faire souffrir Etoile de Feu.

Après l'attaque des blaireaux, surgissent soudain, Pelage d'Orage et Source aux Petits Poissons, revenu de la Tribu de chats des montagnes. La surprise est totale, mais un peu d'aide ne sera pas de refus. Le Clan du Vent rentre chez lui. Et Feuille de Lune, le coeur déchiré, signifie à Plume de Jais qu'ils doivent mettre un terme à leur relation.

Les émotions se succèdent alors que nous découvrons les premières pages. Tant de chats ont survécut. Mais les quelques rares qui n'ont pas eut cette chance nous tire les larmes. Pendant l'attaque, Poil de Chataîgne à mis au monde quatre beaux chatons : Petit Loir, Petit Miel, Petit Pavot et Petite Cendre. Si ce nom vous est familier, c'est parce que Museau Cendré, la guérisseuse, à donné sa vie pour potéger la naissance.

Ce soir, à la lumière de la lune, il sera temps de veiller sur elle, et de lui faire les derniers adieux.

 

Le temps passe, les blessures cicatrisent. Poil d'Ecureuil ne finit par plus savoir vers quel chat se tourner. Pelage de Granit ou Griffe de Ronce ?  D'autant que malgré leur forte amitié, Griffe de ronce cotoie son demi-frère, et Poil d'Ecureuil n'approuve pas. Le Clan de l'Ombre tente de profiter de la faiblesse du Clan du Tonnerre pour lui faucher du territoire. Pire ! A l'assemblée, les Clans commencent à se battre ! La panique gagne tous les Clans, tous les chats, les poussant à des actes insensés, dictés par une survie précaire. Et que dire de la prophétie qui hante Feuille ed Lune ? L'ouvrage commence dans les larmes. Se finira-t-il dans le sang ? Rien n'est moins sur.

 

Notes :

 

 

 

Format : 6/10

Grand format, néanmoins, une version pocket est sortie.

Attrait de la couverture : 10/10

De toute façon, moi les chats...

Attrait de la 4eme de couverture : 8/10

On tente de nous attirer, mais en fait, ce n'est qu'en lisant l'histoire que l'on se prend au jeu.

Action : 10/10

C'est repartit pour un tour. L'action menée par les angoisses et les suppositions erronées.

Fin : 8/10

Ouf ! Heureusement. Enfin une fin calme.

Facilité de lecture : 10/10

Le rythme du livre et le style d'écriture en font une lecture simple, sans recherches grammaticales difficiles à suivre.

 

 

Note finale: 8.5/10

 

Conclusion : A peine les premières pages relues, je suis déjà en larmes sur mon clavier. Conséquences logiques de la fin du volume précédent. La suite est plus calme au niveau émotionnel, mais l'action coule à flot, et l'on se sent finalement galvanisés.

 

 

http://2.bp.blogspot.com/-9i4H0P8rAlU/TZn0IFp-RvI/AAAAAAAABC0/e70GQ9KtPAY/s1600/goutte-de-sang.jpg

 

Enjoy !

 

 

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