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9 août 2012 4 09 /08 /août /2012 11:05

Yop les filles !

 

Découvert aujourd'hui sur ma page facebook, un article "liké" par une copine, sur l'allaitement. Ce n'est pas la première fois que cette copine me sert de prétexte à aller lire de beaux articles et des articles interressants sur le sujet de la maternité. Quand je ne peux pas l'afficher ouvertement à cause de ma mère.

 

Donc, ce matin (enfin midi, hein, mais c'est les vacances !)  direction un petit article sympatoche sur l'allaitement. Pas un pro-allaitement-que-si-tu-allaites-pas-t'es-une-grognasse. Juste une maman qui explique ce qu'elle à découvert en allaitant. Et c'est reposant. De savoir qu'une femme à allaité sans avoir l'impression dans son récit qu'elle a reluqué chaque sein pour le condamner s'il n'a pas nourrit l'enfant.

 

Je me trouve dans une situation ambigue. Dans mon coeur, et dans mon esprit, je trouve normal d'allaiter son enfant. Et celle qui préfère tirer son lait où donner le bibreon de maternisé, je la respecte, je respecte son choix, elle fait ce qu'elle veut de ses seins et de son enfant.

 

Personnellement, je désire allaiter. Sous réserve de ne pas avoir de problèmes, type maladie ou autre réjouissance hein. Je pars du principe que tout le monde est en bonne santé.

 

Sauf que. Mon héritage sur ce point là est assez difficile à vivre. Ma mère m'a allaité, certes, mais à contre-coeur. Elle se sentait vache à traire. Parait que je n'étais pas douce non plus. Elle l'a fait parce que c'était "meilleur" (je ne saurais comparer le lait maternisé et le lait de femme, je ne suis pas bio-chimiste, mais du moins à l'époque le maternisé n'était surement pas aussi adapté que maintenant). Elle l'a fait parce qu'elle se sentait obligé de le faire.

Empathe comme je le suis, je m'identifie très facilement à elle. Et soudain, cela me mets mal à l'aise de vouloir allaiter. De le vouloir parce qu'elle ne l'a pas voulu. De le faire en sachant qu'elle me verra comme une vache à lait, et qu'en plus si j'aime ça, pour une vache à lait béate, et que ça la dégouttera. Et contrariante comme elle est, elle ne comprendrait pas pourquoi je ne lui donne pas le sein si je choisissais le biberon par confort.

 

Et puis là-dessus, il y a internet. Avec les pro-lactation, et les pro-biberon. Je trouve rarement un témoignage au milieu, où ambivalent comme je le ressent. Sur les forums, c'est un sujet pas vraiment tabou, mais qui a ses posts bien séparés. Avec un troisième post, celles qui sont désespérées-révoltées parce qu'on leur a foiré leur allaitement. Sur ces posts là on voit très bien que la pression sociale est un terrible fléau.

On voit beaucoups de ces posts dénigrant les infirmières/sage-femmes/personnes qui n'ont pas voulu respecter le choix de ses femmes qui souhaitaient allaiter et qui, en donnant des conseils foireux, où en refusant de les aider, les ont obligées à passer au biberon. Et c'est inquiétant car cela signifie qu'elles passent outre les désirs d'une personne qui ne les concernent pas.

Cela m'inquiète aussi car je sais que je suis extrèmement influençable. Et qu'au lendemain d'un accouchement, on est sans doute encore à l'ouest.

 

Les témoignages des pro-lactation me font flipper. La façon dont elles racontent ça, on a l'impression qu'elles sont défonçées au LSD. Elles plannent et trouvent ça la chose la plus merveilleuse au monde. Parfois jusqu'à en devenir sectaires.

 

Les pro-biberons, dont se sentent exclues celles qui ont "foiré" leur allaitement, sont identiques. A ceci près qu'elles parlent de liberté quand elles plannent.

 

Et je rigole quand je vois parler "d'allaitement au travail". Je trouve le terme extrèmement mal choisi. Car il s'agit en fait de tirer son lait. Pour moi, allaiter, c'est donner le sein à son enfant. Pas l'extraire à l'aide de la tireuse et pour le coup, c'est sûr que je me sentirais vache à lait. C'est un outil qui peut convenir à certaines femmes, je ne le remets pas en cause, mais il ne me convient pas à moi. Mais la loi sur "l'allaitement au travail" qui promet une heure de temps pour allaiter son enfant est un non-sens à mes yeux. Ca c'est la théorie.

 

En pratique, je ressors la loi française sur ces conditions.

Il est bien question d'enfant dans le texte.

 

etoileL’article 224-4 prévoit par ailleurs que les entreprises employant plus de cent femmes peuvent être mises en demeure d’installer des « chambres d’allaitement » ; pas moins de 20 articles du Code décrivent par le menu l’aménagement et l’équipement de ces chambres d’allaitement, qui ressembleraient davantage à des crèches d’entreprise (alors que dans le simple local, « les enfants ne peuvent séjourner que pendant le temps nécessaire à l’allaitement »).

 

Citation de La leache League. Code du droit du travail, si je ne me suis pas trompée. Pour les moins de 100 femmes, un local suffit, séparé des tâches de tarvail, cahuffé, avec les commodités précisées dans l'article.

 

Ce qui signifie avoir l'enfant avec soi. Quel employeur permettrait à une employée d'avoir son gamin avec elle pendant la journée de travail? Sérieux? Genre ma société d'intérim me permettrait, passé le congé maternité, d'emmener mon enfant avec moi au travail. Il faut encore ensuite que le magasin me laisse rentrer avec mon enfant. Et que je puisse le surveiller comme il faut pendant mon temps de travail, et l'occuper... Bien que certaines formes de travail s'y prêtent, et que certains employeurs soient très conciliants (Je pense nottament à mon beau-père qui n'aurait rien trouvé à redire), d'autres ne s'y prêtent pas. Cela signifie, déjà, que si je persiste à faire de l'intérim, en changeant de lieu de travail tous les deux jours, je ne vais pas pouvoir travailler jusqu'à ce que mon enfant mange autre chose que du lait.

 

Enfin voilà. Le poulpe me tourne autour, ça fait deux heures que je suis sur cet article, il m'énerve, et ma mère me tanne pour avoir sa cigarette.

 

Je vous laisse sur ces réflexions quant à l'état de mère allaitante. J'espère allaiter sereinement mon enfant sans ressembler à une junkie. Et ne pas être jugée si finalement, je passe au biberon.

 

Enjoy !

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 08:41

Yop les filles.

 

Ce matin, levée assez tôt pour regarder Les maternelles sur la 5 139683 J'ai trouvé le sujet particulièrement interressant.

 

Les prédateurs sexuels.

 

J'ai trouvé les mots de la psychologue (enfin, de la dame spécialiste invitée) très juste.

 

Je n'ai pas été agressée. Je n'ai pas été approchée. Mais j'ai quand même réfléchis sur mon enfance.

 

A chaque fois que j'allais chez la voisine au lieu de rentrer directement à la maison, ma mère m'engueulait comme si j'avais volé un bijou (je peux comparer parce que je l'ai fait... et que je me suis fait prendre bouhhh c'est pas beauuuu langue ).

Aujourd'hui je la comprends.

 

Mais que se passait-il dans ma tête à cette époque?

 

1/ C'était la voisine.

Quand ma mère me disait que même à elle je ne devais pas lui faire confiance, je ne comprenais pas. Je n'avais pas les mots pour lui expliquer, et aujourd'hui que je les ai, je ne les lui dirais pas. Elle se moquerait de moi. Comme d'habitude. En fait, je ne comprenais pas. Ma mère lui parlait à la voisine. Elle lui disait bonjour. Elles discutaient de la famille, de comment ça va, de la santé, du beau temps... Donc je ne comprenais pas que ma mère puisse lui faire confiance, et que moi je n'avais pas le droit. Je ne comprenais pas non plus qu'on habite à coté de chez elle si on ne devait pas avoir confiance en elle.

 

2/ J'étais dans une phase d'opposition.

Bon, d'accord, je suis dans une phase d'opposition depuis que je sais dire non... c'est pas une référence.

Mais c'était un peu une façon de dire "merde" à ma mère. d'avoir le contrôle sur quelque chose. Oui maman me mettait en garde, j'allais chez la voisine, et regarde maman, je suis encore revenue, je suis vivante et je vais bien. Lache-moi la grappe maintenant, tu veux?

 

3/ Elle avait des tablettes de chocolat cote d'or.

Oui, je sais. Tout ce que les parents apprennent à leurs enfants, en particulier la mienne, ne valait rien en comparaison du chocolat Cote d'or. On n'en avait pas à la maison. C'était le meilleur. Elle avait beau le prendre avec du raisin dedans (je déteste le raisin sec), j'y allais quand même, et je le mangeais quand même. Rien que parce que c'était du cote d'or et qu'il y avait des noisettes dedans.

 

Alors je voudrais quand même rassurer mon monde. Non, je ne serais pas montée en voiture avec un(e) inconnu(e) qui m'aurais proposé ce chocolat. Je ne serais pas rentré chez un voisin autre que mes trois voisins proches (nelly à droite, nelly à gauche, annie au fond) et françoise, la mère de ma copine (sur le même trottoir à 50m de la maison).

Aujourd'hui, je comprends la position de ma mère. Mais en ayant conscience de ce qui se passait dans ma tête, j'espère en retirer un enseignement pour apprendre la sécurité à mes enfants.

 

Je pense que ce n'est pas tout de dire "non" à un enfant (ou oui d'ailleurs). Je pense qu'il faut pouvoir lui expliquer pourquoi, et lui faire comprendre. C'est comme ça qu'il devient capable de dire non quand il le faut.

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 09:12

Yop les filles!

 

 

Après lecture de plusieurs articles plus ou moins sur le même sujet, nottament l'un des derniers de PapaCube :

 

Cliquez .

 

Je ne remets pas en cause le fait qu'il râle. Il a le droit de râler. Comme tous ceux qui ont écrit les commentaires en dessous, et comme toutes celles que j'ai vu râler pour n'importe quoi. Car s'il s'agit de la gemellité de ses filles pour PapaCube, il n'en est pas moins autant de sujets pour lesquels les gens posent des question "à la con".

 

Vous êtes enceinte? Non, j'ai avalé une pastèque tout rond! 

Ca va? Non, je viens de vomir mon déjeuner sur tes chaussures pour le plaisir.

Qu'est ce que tu mange? Tu vois pas ? c'est une choucroute! *dit-elle avec une tranche de jambon entre deux tranches de pain*

 

Cela peut s'appliquer à n'importe quel sujet. Oui, les gens croient bien faire. Les gens veulent bien faire. Moi même il m'arrive de sortir ce genre d'anneries. Le problème c'est que l'on ne s'en rend pas compte...

 

A la fin tant et si bien que je n'ose plus ouvrir la bouche devant une femme enceinte, ou des nouveaux nés. J'ai peur de mal dire, de dire une connerie, ou pire, de vexer la personne.

 

Surtout que je comprends ces gens. Quand sur trentes personnes avec qui tu discutes, yen a au moins 28 qui te sortent les anneries banales que t'en a marre d'entendre.

 

Que dire? Je n'ai pas encore la réponse. Surtout que d'une personne à l'autre, ça change.

 

J'ai une copine, dont la peluchette à 2 ans révolus maintenant, vous la connaissez, c'est MMe-casse-bonbon. Je peux dire tout ce que je veux, mais je l'adore. Si je dis quelque chose qui lui plait pas, elle va me le dire en face. Et je vais trouver une autre façon de le dire. Mais la personne dans la rue, que tu ne connais pas forcément ou juste de vue, que tu as envie de lui dire combien tu est contente pour elle que :

 

Cochez la réponse au choix selon la situation

 

Elle est enceinte

La naissance à eu lieu

Elle remarche

Elle a l'air d'avoir plus confiance en elle

Elle à l'air d'avoir à nouveau des sous pour s'acheter plus qu'une demie baguette pour la semaine

 

 

enfin... Pleins de choses. C'est pas évident.

 

En lisant ces articles, ces blogs, ces posts sur les forums, on réfléchit. On change nos mots. On change notre façon de parler, car on s'est rendu compte que certains mots sont creux et n'ont guère de sens.

 

 

 

Réflechissons donc avant de parler. On passera moins pour des abrutis 139683

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 23:09

Yop les filles !

 

Cela fait un moment que je n'ai pas évoqué la grossesse ici. Mais ce n'est pas pour autant que je ne l'évoque pas avec chérichéri

 

Tout d'abord, pas de grossesse à l'horizon. J'ai débuté un cyclé la semaine dernière. J'ai ralenti le rythme des "consultations" internet. Je pense avoir appris la majorité de ce qui s'y trouve, à savoir le B.A-BA technique, et les différents choix qui s'offrent à moi. Du moins en cas de grossesse tranquille. Si il y a un pépin il sera toujours temps de voir à ce moment là.

 

J'ai reçu les papiers de la sécu (enfin !!!). En fait, je dois m'affilier à la cmu. Depuis janvier dernier ! Pas pressés les mecs. Donc reception du dossier mi-décembre. Je n'ai pas pris la peine de remplir le dossier à ce moment là, avec les fêtes et tout et tout, même pas la peine d'espérer. Le dossier est rempli (ainsi que celui du rsa) je n'ai plus qu'à mettre à la poste. Idéalement, il faudrait une Maitrise en Paperasse pour savoir si le dossier est rempli correctement et si on envoie les bons papiers. D'ailleurs je sais même pas si la sécu elle-même le saura vu que quand j'ai appelé pour qu'on m'aide, la nana elle savait même pas ce qu'on y demandait. Bref, si ca va pas, je vais encore passer une année sans sécu. Jusque là j'en suis pas morte.

 

Cotés calins, on est passé au rythme d'un par semaine. Ca commence à me gaver ces espèces de calins à répétition à moitié programmés. J'suis déjà pas fana des calins, mais là, j'ai même plus l'impression de les faire parce que j'en ai envie, ni pour faire plaisir à chérichéri. Oui j'aime ces instants de complicité avec Mossieur. Oui je passe un moment agréable. Mais d'abord, j'aime pas quand ca dégouline après. Le présa oui, mais se farcir la serviette pour pas dégueulasser les draps ca me gave. Et le ratio plaisir/gavage tourne au vinaigre. Et quoiqu'en diront certains, je préfère la capote. Mais c'est quand même Hachement compliqué de faire des enfants en mettant une capote rougilan

 

Moralement, ça monte, ça descend. Ca monte quand on me donne du boulot, quand chéri arrive le sacro-saint Diamnche matin 10h, et il redescend quand j'ai pas taffé depuis trois semaines, quand le Dragon part dans le bureau après ses programmes en laissant la télé tourner alors que je ne la regarde pas (avec un programme moisi en plus. Si encore elle me passait la télécommande...), et le lundi soir 17h quand chéri s'en va. Avec un pic dépressif le jeudi soir en moyenne.

Et puis un pic dépressif cet après midi après avoir ralé contre chéri qui m'a cassé les bonbons à me demander ce que je faisais toutes les 5 mn. J'ai craqué au moment fatidique. "Je me gratte le cul bordel! Ca se voit pas? "GigaSmiley.7f965d861e039d929609b7bf99075fcd Forcément il le méritait pas. Il a compris qu'il était de trop, s'est exilé dans le salon, et puis j'ai pleuré pendant une heure. Je suis fatiguée, j'ai trop dormi, j'ai rien foutu depuis le 24 Décembre et on n'a plus un rond. Je touche le fond.

 

J'en viens à me demander si c'est une bonne idée de faire des enfants alors que d'ici quelques semaines (quelques jours?) on ne pourra plus manger que des pates à la maison. J'ai des idées de grandeur (C'est héréditaire ça). J'aimerais payer une chambre neuve à mon gamin, et refaire les peintures de la chambre, et mettre de la moquette. Et acheter une poussette neuve et une chaise haute neuve aussi. Et puis j'aimerais que ma mère puisse se lacher dans les magasins pour lui offrir tous les vêtements "trop craquants" qu'elle à repéré. Oui oui, ma mère est un dragon au coeur guimauve.

 

Et puis, à l'heure ou les femmes controlent leurs moyens de contraceptions, et leurs vies entières, je me demande si nous faisons encore des enfants "par nature". Les animaux en font, poussés par "la saison des amours". Les humains, eux, ont dépassés ce stade. La femme a la chance d'être féconde toute l'année ; Est-ce une étrangeté de la nature? Où une étape de l'évolution? Genre les humains n'ont pas de prédateurs à repousser, niveau épanouissement corporel on est en plein dedans, la "nature" féminine n'a plus de restriction? Ou quelque chose dans ce goût là. J'ai un peu l'impression que nous faisons des enfants plus ou moins par égoisme. Pour "faire comme les autres" ou comme nos parents, nos frères et soeurs... Pour perpétrer le nom familial. Parce qu'on a envie d'un petit être à chouchouter.  Pour faire plaisir à son conjoint(e). A part les accidents, qu'on assume ou pas, j'ai l'impression que la grossesse s'est dénaturalisé. Pourquoi j'en ai eu envie? Mystère, je ne me suis pas vraiment penchée sur la question. Et si je le fais, je vais avoir peur.

 

Enfin, j'en resterais là pour ce soir. J'entame mon 6eme cycle, rien de nouveau de ce coté là.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 00:38

Yop les filles !

 

Vous êtes prêtes à tout pour votre enfant !? Lui donner le meilleur, vous farcir des nuits de taf à la mord-moi-l'noeud, des heures de servilité sous un régime tyrannique et sous-payé pour lui offrir le must-it-have de l'outil de jeux/éveil... 

 

 

EH BIEN PAS MOI !!!

 

 Mère indigne !

 

http://emoticoneemoticone.com/emoticones/etonne/15.gif

 

 

 

 

Je vais vous raconter, Vous allez comprendre.

 

Donner de moi à mon enfant, oui. Mais je ne suis pas prête à suicider ma vie pour lui. Ni à suicider mon compte en banque. Au demeurant en désaccord avec mon désir d'enfant.

 

Alors je fouille, fouarfouille, guette, explore, compare, reluque, matte... TOUT !

 

Car il faut bien l'avouer, le marché du bébé est florissant. (Ne montez pas sur vos chevaux, je ne parle pas d'acheter un bébé, mais de tout ce qui est autour du bébé).

 

Pléthore d'avis de consommateurs (ou consommatueurs, vu certains commentaires...). Publicités, nec plus ultra... Que retirer de... ça?

 

Commençons par définir nos attentes. Je vais faire les miennes, mais faites les votres, hein? Je veux pas vous macher le travail.

D'abord parce que chaque femme à ses propres attentes, et puis aussi parce que je suis complètement cinglée...

 

1) Nature mais pas trop.

Oui aux produits plus naturels (emballage et contenu), mais pardon Dame nature, je refuse d'utiliser des couches lavables. Je respectes les femmes qui y voient pourtant le choix le plus naturel du monde, le plus militant-écologique. Si un jour, les industriels nous sortent une couche jetable bio-dégradable (à prix abordable j'entend), cela mettra tout le monde d'accord.

 

2) Allaitement.

Si possible, bien sur. J'estime qu'il est plus naturel de donner le sein à son enfant. Oui, à l'heure actuelle, on garde quand même à l'esprit l'image "vache à lait". Mais j'espère y prendre du plaisir pour atténuer cette image.

 

3) Juste dose de médicaments.

On se dit tous ça. Bien sûr, encore une fois, tant que la santé de l'enfant le permet. Je me vois mal dire ça avec un enfant qui a besoin de soins quotidien. On n'a jamais été très médicaments dans la famille. Les vaccins sont à jours (malgré tout ce que j'ai fait pour les fuir). Et à part quelques angines de temps en temps, ce n'est pas ma faute si la sécu à un trou dans le pantalon.

 

4) Equipement juste nécessaire, mais le meilleur de qualité.

Il y a tellement de choses dans toutes les catégories de puériculture qu'au final, quand on se demande comment nos parents faisaient, on se demande comment ils y arrivaient ! Je ne reviendrais pas sur le lave linge ni les couches jetables. Je ne réfute pas non plus les avancées technologiques. Et maladroite comme je suis, il me faut du solide. Et si l'enfant est bien l'enfant de ses parents, le matos va être mit à rude épreuve.

 

Bon, passons au concret. En fait les 4 points se rejoignent.

Le 2) va faire le malheur de tous les fabricants. Allaitement exclusif. Je ne compte absolument pas du tout donner le biberon. (Oui, je sais, entre ce que je veux et ce qu'il va se passer, il y a tout un monde). Donc ce qui signifie... 1 petit biberon pour l'eau, et heu... c'est tout. Enfin peut être autre chose, quand j'y penserais, mais en dehors du lait, et ensuite des aliments, il n'y a que l'eau d'indispensable. Et par extension les aliments. Miss ne jure que par le baby-cook (ou assimilé). Le robot à la maison fait la même chose, je ne me vois pas acheter un robot exprès pour le bébé, cela ferait double emploi. A juger au jour le jour, mais je reste sceptique.

 

4) Héhé. Pas facile de choisir. Tous les articles de puériculture sont plus mirifiques les uns que les autres.

J'aimerais une chambre neuve. Avec la peinture (je peux plus voir la peinture blanche de la maison -euuurk-). Ce qui signifie le lit, la commode (pas à langer attention, je veux le plan à langer à part), et l'armoire trois portes. Déjà, une fois trié les chambres complètes avec armoire trois portes, il en reste pas beaucoup. Et alors trouver une chambre à mon gout... Désert total... Moi, j'aime l'originalité. Les portes décalées, les couleurs sobres... D'abord couleurs sobres, zéro. Soit c'est blanc (et on connait mon sentiment sur le sujet), soit c'est bois (trop classique à mon gout), soit c'est orné de (rayez la mention inutile) princesse, winnie l'ourson, couleurs dissonantes (genre rouge, vert et bleu turquoise sur le même berceau), fleurs qui pendouillent. Ou rose/bleu. Donc oui, j'ai trouvé une belle chambre, mais Miss l'à déjà... J'avoue que si je ne l'avais pas vu en vrai, je ne l'aurais même pas regardée sur internet. ca rend vraiment bien et c'est pas si flash que ça.

Conclusion : j'irais regarder en magasin, et je prendrais ce qui sera disponible. Bah oui, parce que j'ai jeté mon dévolu sur une chambre qui n'est plus produite. Donc MERDEUUUUUH !

 

Le plan à langer. Oui, c'est parce que j'ai vu chez miss comment c'est. J'ai trop aimé. Mais (bah oui si ya pas un mais, c'est pas moi) J'aime pas les couleurs. huhu. Et pis là ya pas grand choix. blanc jaunis, bleu elephant flashy ou vert girafe flashy. Ah ya aussi les beaba en bleu et rose poudrés avec écrit dessus.

 

J'hésite pour la baignoire bébé. Mais je crois que je vais la prendre parce que j'en avais une. Enfin, on habitait dans une caravane aussi. A la limite je demanderais conseil à ma mère quand ca sera en cours de route.

 

La chaise haute. Je ne sais quoi en penser. Ca varie du simple à l'exponentiel, pour une multitude de fonction dont on n'est pas sûrs au final du rapport utilité/prix. Et puis toujours ces couleurs affreuses... Et ces motifs qui rendent la chaise affreuse alors qu'elle aurait été tellement plus potable sans...

 

La poussette. Buget et choix important puisqu'apparament l'enfant va venir s'y asseoir jusqu'à l'age de 4 ans environ. C'est marqué 4 ans. Mais en fait c'est au poids. Donc comptez 3 ans pour en enfant "normal", et 6 ans pour ma nièce. Espérons qu'elle en aura marre à cet âge là et qu'elle préfèrera marcher. Autant de prix que de poussettes. De 150 euros à plus de 1000 euros. Trois roues, 4 roues, citadine, tout-terrain, avec accessoires, en packs... On se dit quand même qu'il y a un juste milieu. D'autant que les packs fournissent des accessoires dont le nom n'évoque strictement rien à des futurs parents. Vais aller poser mes questions idiotes à la nana de chez Aubert moi.... J'espère qu'elle est bien payée hihi :b L'idéal? La poussette, 4 roues, tout-terrains, vu que j'habite le fin fond du trou du luc de la cambrousse, avec le panier qui fait couffin, et la coque pour aller dans la tuture à grand-mère. Réversible route/maman. Manque de bol, la couleur n'est encore une fois pas au rendez-vous. Si l'enfant ne roule pas dans un corbillard,estimez vous heureuse. Le reste n'est que marron (pompeusement baptisé chocolat), rouge (vif), gris, turquoise (bien vif aussi). Toute autre couleur se verra immédiatement associée à une autre de base.

Ah si j'en ai trouvé une sympa niveau coloris... mais c'est une poussette canne. Et j'aime pas les cannes...

 

Quoiqui reste? les couleurs de peinture, l'assortiment des prduits avec la couleur des murs, tapis or not tapis, tapis d'éveil, balancelle, couffin, machin, truc, bidule...

 

 

Le mieux c'est encore d'attendre avant d'acheter la majorité de l'équipement.

D'abord parce que vous savez pas si votre gamin en voudra, et vous, vous vou en voudrez d'avoir mis 150 euros dans un truc qui le fait hurler à la mort.

Ensuite parce que c'est souvent démarqué "fille/garçon". Donc pas d'achats avant le 4ème mois.

Pour les vêtements, ca dépendra beaucoup si c'est une crevette ou un mastodonte (comptez plus un mastodonte d'ailleurs). Achetez le minimum, et ensuite avisez en fonction de la taille de votre loustic.

Les produits "d'entretien". A part les couches, évitez de prendre trop à l'avance, à cause des dates de péremption.

 

 

Je n'ai pas parlé des jouets... Mamie, papy, cousin, la voisine, la copine, les frangins... tendez leurs les bras :b

 

En revanche n'hésitez pas à regarder partout dès le jour ou vous vous posez, et que vous êtes d'accord pour faire un enfant. Sans forcément acheter, mais pour vous familiariser avec les procédures cliniques, les éventuelles complications, et surtout la grande variété de produits et d'avis. Cela vous permettra de savoir dans quoi vous vous lancez, et surtout de savoir comment vous voulez vivre cette aventure. Miss m'a dit que je n'aurais plus rien à faire pendant ma grossesse, si je faisait tout ça avant. C'est bien possible. Mais je ne le regrette pas. Cela me permet de définir longtemps à l'avance mes attentes, de découvrir la face caché de ce baby-shopping, et d'en mesurer l'impacte sur mon porte feuille. (sigh!) J'hésite à me tourner vers de l'occasion, surtout pour la chambre et la poussette. Il faudrait que je puisse aller voir, juger du produit sur place, et le faire livrer. Ce qui n'est pas évident quand on a pas de voiture. 

 

Bon, il est deux heures du matin, ca fait déjà deux heures que je suis sur cet article (je tiens d'ailleurs à remercier over-blog qui a sauvegardé mon article non terminé quand firefox à planté), et je vais aller dormir. Enfin je vais essayer vu que je suis complètement décalée. Et surtout je vais VOUS laisser dormir.

 

Cet article fait suite au visionnage d'un reportage sur le baby-business (en replay sur internet) de je ne sais pas quand, si sur quelle chaine (bouhh je suis vilaine j'ai pas fait attention), que j'ai trouvé très agréable. 1000 euros pour une baby shower, avec des gateaux en forme de biberon complètement nunuche, avec des meringues roses et bleues partout (beuark...). Sérieux, si je deviens comme ca quand je suis enceinte, pendez-moi ! Le trotteur qui finalement est complètement mauvais pour les bébés. Et les quelques services proposés au plus près des mamans.

 

Bonne nuit les filles ! Pour celles qui ne se lèvent pas toutes les trois heures pour tenter de calmer choupinounet ;)

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 17:31

Je vous vois venir ! Non, il ne m'a pas demandé en mariage

 

 

On a discuté un peu de ça. Grossesse, et un petit peu accouchement.

 

On discutait des femmes qui se plaignaient d'avoir des obus à la place des seins... Du fait que déjà ses mains ne couvrent pas la moitié de mes seins... Qu'il souhaiterait assister à l'accouchement.

Je lui réponds que on verra ce jour là, que certaines femmes ne veulent pas que Monsieur n'assiste pas à ça, que certains hommes se rendent compte qu'ils ne vont pas le supporter, et qu'il préfèrent patienter à coté.

Il me répète qu'il voudra assister à la sortie de notre enfant.

Et puis on a discuté, il me disait qu'il s'amuserait à me tripoter le ventre quand il sera gros...

 

 

Rien ne vous a sauté aux yeux?

 

Il a dit NOTRE enfant. Il parlait de MA grossesse. C'était la première fois qu'il évoquait cela aussi directement.

 

Alors forcément je me suis mise à pleurer. De joie, de bonheur, d'amour.  Il était beau quand il l'a dit. C'était naturel, cela n'a pas été incongru dans sa bouche comme j'ai l'impression que ça l'est quand moi j'en parle. Il a eu la voix la plus douce au monde à mes oreilles à ce moment là.

 

Certaines diront que c'est rien, c'est pas la peine de pleurer pour ça. Mais c'était merveilleux. Je veux l'entendre encore en parler.

 

Chéri, tu ne lira ces lignes que quand je serais enceinte. Mais parle moi encore de notre enfant à venir. Dis le moi encore. Notre enfant. Quand tu sera père. Le père de notre enfant. Tu es l'homme le plus beau du monde quand tu me parle de cela. Ces mots touchent directement mon coeur et s'y gravent pour l'éternité.

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 14:43

Ou comment avoir l'air de vous présenter un choix qui n'en est pas un.

 

 

Sur les sites, divers et varié, au sujet de l'accouchement, une question revient sans cesse.

 

Comment bien choisir sa maternité?

 

Alors, j'ai regardé. Du coté de chez moi, la maternité que je voulais à l'origine, celle où ma maman m'a eue a fermé. Mais il y en avait une autre, qui n'avait pas l'air trop mal, au vu de certains de mes choix de naissance. Nottament le taux d'épisiotomie qui y était relativement faible, l'accompagnement à l'allaitement...

 

Oui mais voilà, ce n'est pas la plus proche de chez moi. Et j'ai fini par me poser la question : comment y aller?

 

Pour mémoire, je n'ai pas le permis, chéri n'a pas le permis, je vois mal ma mère se farcir la route jusque là-bas, alors qu'elle ne veut déjà pas aller dans une ville avec des feux rouges, et mon beau-père, malade, qui peut à peine monter les marches.

Et je ne m'imagine pas dans les transports en communs, à ce moment là !

 

D'abord j'ai appris que je devais téléphoner au samu, de préférence aux pompiers car les pompiers n'ont pas la formation pour les accouchements.

 

Et ils m'emmèneront à la mater de mon choix?

 

Que nenni. La plus proche, m'dame. Faut pas pousser ! Enfin si, mais enfin voilà.

 

Si, madame, vous n'êtes pas véhiculée... vous n'avez pas le choix. Quelle que soit la réputation de l'établissement, quelques soient vos choix, ce sera la plus proche.

 

J'accoucherais donc à la maternité la plus proche. Qui n'est pas si proche que cela, puisqu'il faut environ une demi heure pour y aller. Surtout que je suis du genre à emmerder mon monde sans le vouloir. Donc ce sera un départ en vacances, avec bouchons. A tous les coups j'accoucherais dans l'ambulance. Pour pas faire comme tout le monde.

 

Mais je suis prévenue. Grace aux forums et à Mme Casse-bonbons... Le premier qui fait pas comme je veux il va en prendre plein les dents.

 

Mon projet de naissance comporte quelques impératifs (à nuancer uniquement en cas de "vie ou de mort"), entre autre : pas d'épisiotomie, pas de césarienne (en cas de siège j'aimerais tenter l'accouchement normal quand même), et PERIDURALE. Je suis douillette... Moi et la douleur on est pas copines... Les aiguilles non plus mais je me dit que par rapport aux contractions, la péridurale est un moindre mal.

 

On ne parle pas suffisament de l'accès à la maternité pour celles qui n'ont pas la voiture. Ou qui n'ont pas la possibilité, pour une raison ou une autre de se rendre à celle qu'elles ont choisi.

 

Moi j'en parle, j'en rale, et j'en plaisante. Mais le jour ou je devrais composer le numéro du samu, je n'en mènerais pas large...

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 18:45

Statistiques :

C1 : 1er au 30 Aout 2011

C2 : en cours.

 

 

 

Yop les filles !

 

Me revoilà ce soir pour vous faire partager quelques instants de notre vie. Oui, ce soir, c'est bien de notre vie qu'il s'agit, et pas uniquement de la mienne.

 

Hier soir, à la fermeture de l'établissement, j'étais toujours perchée sur ma chaise, devant l'ordi. Enfin à moitié, car l'autre moitié de ma personne s'occupait de préparer le diner, et la dernière moitié de fermer les volets, compter la caisse, vérifier la présence du papier à chiotte. Et pis je discutais sur Les Mécènes avec Mme Casse-Bonbon de savoir ou j'irais pour mon premier rendez-vous chez le gynéco. Cherchez pas je suis comme ça. Quand je ne suis pas malade, le médecin ne sait même pas que j'existe. Je ne suis pas du genre abonnée avec la carte de fidélité aux urgences non plus. Donc jamais eu de problèmes, jamais été chez le gynéco. Voilà. Mais comme cela m'angoisse terriblement d'aller chez le médecin, pour quelque raison que ce soit, imaginez un peu la terreur qui s'empare de moi quand je dois aller parler de mon intimité (et lui montrer aussi y parait) à un parfait inconnu. Donc elle essayait de m'imposer son gynéco mâle, alors que moi je voudrais aller chez une femelle. Parce que je veux qu'elle m'accompagne en plus. Oui, non, pas ma mère, pas Chiri, mais Elle.

 

J'en parle donc à Chiri, que ferme les volets, recompte la caisse, termine sa vaisselle et récupère un verre au vol. Pis d'un seul coup le voilà qui me pose une question. Mais alors LA question. Une question à laquelle on ne s'attend pas. Qui ne nous aurait même pas effleuré l'esprit, et qui nous semble complètement absurde.

 

 

"Dis, tu aimes quand je m'occupe de toi?"

 

Passée la première surprise, je lui réponds oui machinalement. Ca fait quand même presque dix ans que nous sommes ensemble, je lui parle de faire un enfant, je lui avais courru après la veille parce qu'il était partit furieux de la maison (je ne sais toujours pas pourquoi à l'heure actuelle) mais non j'aime pas quand il prends soin de moi.... ?

Ensuite, le double sens de la question s'impose à moi. Il aurait pu parler aussi des calins. J'avais refusé ses avances l'avant-veille.

Donc je finis par l'attraper, le caliner un instant, mon petit Chiri pas sur de lui, et je lui dit que je lui aurais pas demandé à retirer la capote si je ne l'aimais pas. Je crois qu'il en avait les larmes aux yeux.

 

Pis nous voila qui embrayons presque le plus naturrellement du monde sur nos raisons de vouloir un enfant. Le fait qu'on se sent prêts, la maladie de son père, la santé de ma mère -même si cela ne se voit pas-, le fait que nous n'étions pas prêts il y a dix ans, ce qui nous fait peur. Bref. Je n'en revenais pas que nous étions d'accord sur TOUT. C'en est presque effrayant. Je ne serais pas surprise si Chiri ne mets pas la capote au prochains calins.

 

Nous avons discuté de ce qu'il se passe dans le corps de la femme, l'ovulation, les règles, la facon dont zozo rencontre ova. Parce que oui, on connait le principe, avec le cycle, et qu'il faut que les deux se fassent des bisous pour avoir un paquet surprise neufs mois plus tard. Mais nous avons parlé de choses plus précises. De durée, de statistiques, et du pourquoi du comment.

 

Si la science a fait du progrès en cette matière, c'est encore un sujet un peu tabou (voir complètement mais parlons de mon cas) dans la famille. Ma mère m'a effectivement bien expliqué. Mais dans ma soif insatiable de connaissances, j'ai appris des choses qu'elle ne doit pas savoir, tout simplement parce qu'a son époque, non seulement on n'en parlait pas, mais on n'en savait pas grand chose non plus.

 

Forcément, après la discussion, mon esprit sautait partout d'un bout à l'autre de ma tête.

 

Nous sommes prêts, tous les deux. Je n'attends plus qu'un infime geste de sa part.

 


 

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 11:12

Bonjour à toutes !

 

Mon premier cycle vient de débuter. Avec presque 6 jours d'avance ! M'enfin... je suis habituée à ces yoyos.

Oui, le Cycle 1. Parce qu'on va dire que les trois jours qui ont passé depuis que mossieur à dit oui ca compte pas. J'attendais ma période pour le 6 ou le 7 Août. Nous somme le 1er. Et j'en ai pour 5 jours. Autant le dire tout de suite, j'ai un cycle long, de 32 jours en moyenne. En moyenne car, comme vous venez de le découvrir, il n'est pas rare que mon cycle, même après presque 15 ans d'existance, fasse encore le yoyo. J'ai même raté une période entière une fois. La vrai panique à la maison !

 

Positivons ! Je fais maintenant officiellement partie de la communauté des "essayeuses". J'ai coincé mon mec, hier soir, sur le lit.

 

Non ! Je vous vois déjà venir bande de perverses ! Il ne s'est strictement rien passé ! J'ai juste réussi à discuter "sérieusement" avec lui. Pour avoir la confirmation que c'était pas en rigolant qu'il n'avait pas dit non.

 

Parce que bon... c'est pas sur msn qu'on a le ton et les émotions.

 

Maintenant... je me demande si il va réfléchir à chaque fois que je vais l'entrainer dans un calin, à savoir si c'est calculé ou pas pour avoir plus de chance de... Même s'il est censé connaitre mon rythme de ces choses là.

 

Je ne suis pas très portée sur la chose, même si une fois de temps en temps, les hormones débordent. Particulièrement à la fin d'une période. Et en général le soir. Le matin au saut du lit, très peu pour moi.

 

Sinon, je suis en vacances, ses parents aussi, ils partent d'ailleurs vendredi, pour 3 semaines !

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